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Mon premier 7000 en vélo
22 juillet 2007

Dénivelé 7000 pour le 14 juillet ?

Ce premier 7000 en une journée se fera mais 3 ans plus tard, le27 juillet 2010...après une fracture du col du fémur...

C’était mon projet depuis un an et pratiquement le seul jour possible pour moi cette année, en raison d’abord d’une météo exécrable et froide depuis le 20 juin puis de contraintes familiales après le 18 juillet. Je dois aussi faire 480 km en voiture pour arriver sur place à Luz St Sauveur, au pied du Tourmalet. Parti le 13 je prépare dans l’après-midi la journée du lendemain annoncée caniculaire, au moins dans les vallées. Aucun entraînement complémentaire en montagne avant de se lancer dans cette aventure avec successivement Tourmalet, Aspin, Peyresourde, Port de Balès que je ne connais pas, descente de 8 km jusqu’à la cabane de Saubette, puis retour par le même itinéraire avec ces 8 km à 8,5% de moyenne. La route du port de Balès a été inaugurée en juillet 2006 et sera empruntée pour la première fois cette année pas le Tour. Ce nouveau col routier est annoncé aussi difficile que le Tourmalet, du moins côté retour pour moi. L’an dernier j’avais fait 6500 m dans la journée et m’étais senti capable de continuer encore un peu.  D’où l’idée d’en  rajouter…D’autres en rajoutent autrement en tirant une remorque dans le Tourmalet avant d’enchaîner avec le col des Bordères, Soulor et l’Aubisque puis Marie-Blanque…

Problèmes d’eau, d’air et de terre !

La principale difficulté, a priori, sera de le faire entre le lever et le coucher du soleil. Je suis seul et ne peut attendre aucun soutien logistique. Pas question de s’arrêter pour acheter de la nourriture que j’emmène dans un sac à dos léger et à forme triangulaire pour ne pas gêner la respiration. Pour l’eau, pas question non plus de s’arrêter dans un café. Je passe devant l’incontournable fontaine de Ste Marie de Campan à 2 reprises. Mais il faudra que j’achète de l’eau à Arreau et je prévois 2 bidons pour 1,5 litres au total pour pouvoir tenir pendant 2200 m de dénivelé avant le retour à Arreau, en espérant un magasin encore ouvert le soir de ce jour férié…Sinon il faudra faire Aspin en plus avec la même quantité.

Je dors sous la tente. Au moment de me coucher je constate que le matelas est dégonflé…A 1h du matin je suis de nouveau sur le sol …Je regonfle…Quand le réveil sonne et me surprend en plein sommeil je suis à même le sol, presque à même la terre et ses pierres, idéal pour être en bonne forme pour partir ! La nuit fut très courte et j’aurais préféré continuer à dormir mais je me dis que ce n’est pas le moment d’oublier pourquoi je suis venu ! Il faut se faire violence. Je quitte le camping à 5h39 avec un feu rouge et un feu de position à l’avant. Si je vois la route, ils sont nécessaires pour me faire voir. La montée se fait facilement en 1h57 et en haut il fait encore très frais. Il est vrai qu’il y a 2 ou 3 jours il gelait pratiquement au sommet du Tourmalet. Arrêt prolongé à Ste Marie de Campan après la descente, pour manger, faire le plein de liquide à la célèbre fontaine et profiter des toilettes publiques…c’est important !

Dans la montée d’Aspin la chaleur monte rapidement. Je constate que la fréquence cardiaque est sensiblement supérieure à l’habitude. C’est probablement l’effet de la chaleur. La journée s’annonce donc assez difficile avec ce soleil qui cogne. Au sommet un homme est assis sous le panneau du col avec sur ses genoux une immense couverture qu’il réalise au crochet. « Non, ce n’est pas une couverture mais les drapeaux de tous les pays européens » explique-t-il aux touristes qui le questionnent. Le col d’Aspin sera le premier col à avoir une telle collection de drapeaux qu’il compte installer au sommet. Je ne peux m’attarder et repars juste derrière un autocar qui descend très lentement en occupant les trois quart de la route. Je dois absolument le doubler, ce que je parviens à faire sans avoir perdu trop de temps. Ouf !

La fonction psycho-sociale du cycliste

A Arreau je cherche des yeux une boutique pour y acheter de l’eau. Ouf, il y en a une et elle sera ouverte jusqu’à 19 h ce qui me permettra de prendre l’eau nécessaire au retour pour remonter Aspin. Les minutes me sont comptées et je sais que je dois faire vite pour aller chercher une bouteille au fond du magasin en marchant avec des chaussures cyclistes, payer à la caisse, heureusement il n’y a personne, remplir le bidon, boire le reste de la bouteille et remettre la bouteille vide au commerçant. Un homme est là devant mon vélo qu’il contemple, il m’attend. C’est un ancien cycliste qui a fait plusieurs étapes du Tour et de grandes randos dites cyclotouristes mais qui consistent à rouler en continu la nuit comme le jour pendant plusieurs jours…Maintenant il ne peut plus car il a été opéré de partout, alors il rêve tout haut de son passé. Je lui dis ce que je suis en train de faire et je le fais rêver. Avec un sac à dos et un éclairage amovible à l’avant et à l’arrière il ne doute pas du sérieux de mes intentions car jamais je ne l’aurais gardé s’il ne devait pas m’être utile aujourd’hui. J’ai conscience de ma fonction sociale : je lui fait du bien par les souvenirs que ma présence réveillent en lui. Mais je dois repartir.

La montée de Peyresourde se fera sous un fort soleil. Si les 8 premiers kilomètres montent peu ils sont entrecoupés de petites descentes, agréables certes, mais qui demanderont de remonter le dénivelé perdu et qui, transformées en montées à la descente, vont casser les jambes, faire remonter le cœur et gêner la récupération. Si la différence d’altitude d’Arreau au sommet est de 880 mètres, on peut estimer le dénivelé de cette face de Peyresourde à 1000 m avec les remontées de la descente. Les 8 derniers km sont en montée continue et j’y rencontre beaucoup de cyclistes, les uns au sprint, d’autres chargés comme des mules. Dans les derniers km un point de côté apparaît, de plus en plus intense. Il y a une éternité que je n’en avait pas eu. J’essaie de le faire passer en respirant mais rien à faire et j’ai l’impression que c’est bien bloqué. J’oublie que ce point de côté est à droite et plutôt étendu que ponctuel.

Quand les Pyrénées deviennent l’Himalaya !

J’arrive au sommet à 11h45. Je veux m’alimenter avec une barre de céréales qui provoque aussitôt un réflexe de vomissement. Impossible de manger. Immédiatement après je ressens un étourdissement qui m’oblige à me précipiter au sol pour éviter de m’évanouir. Je comprends que les 7000 m c’est fini pour aujourd’hui et que le problème est digestif. Encore faudra-t-il rentrer et ça fera quand même 5000 m. Pour le moment j’en suis à 3000 m de dénivelé faits et il ne m’était jamais arrivé les années précédentes d’être en difficulté avant 4000 m. Que se passe-t-il ? Au bout de 15 minutes au sol je me relève mais nouvel étourdissement. Impossible d’envisager de faire même la descente dans cet état, je risquerais de m’évanouir sur le vélo. La situation devient critique. Soudain ce ne sont plus Aspin et Tourmalet qui me sont familiers et que je connais par cœur qui me séparent du camping de Luz mais l’Everest ! Va falloir faire appel à l’hélico diraient les alpinistes !

A 50 mètres il y a une auberge. Je réussis à y aller mais je ne me sens pas très bien pour autant. Au moins je vais pouvoir essayer de libérer un peu cet intestin qui paraît bloqué. L’aubergiste est très gentil. Il connaît et aime les cyclistes qu’il voit passer par centaines. Il me dit qu’il y a 2 jours il a vu un autre cycliste dans le même état que moi et qu’après avoir vidé son estomac il allait mieux. J’attends encore un bon moment mais rien ne s’améliore. Je décide alors de me faire vomir. J’ai pratiqué cela dans des cours de yoga thérapeutique avec un médecin : à jeun boire plusieurs bols d’eau tiède puis y aller courageusement pour à la fois nettoyer l’estomac et maîtriser le réflexe et l’appréhension du vomissement. Ce n’est donc pas un problème pour moi. Pratiquement rien ne veut venir. Je suis déçu, c’était mon dernier espoir. Mais je constate soudain que les forces reviennent et que le flottement que je ressentais n’existe plus. Ouf ! Je vais pouvoir faire la descente. Je m’interroge sur les causes de ce changement. Une action réflexe ? Je ne sais.

Le Tour et les Camping-Cars

Une femme arrive dans l’auberge. Elle vient d’installer le camping-car familial à proximité pour prendre position pour le 23 juillet pour le passage du Tour. Les places sont chères ! Très chères ! L’aubergiste s’étonne d’une telle précocité. Ils feront des ballades en montagne, la flore, la faune, les ours peut-être, qui sait ? Elle apprend, ravie, que dans 2 jours 16000 mollets et autant de roues vont passer devant son camping-car. La famille ne ratera pas ce spectacle à donner le tourni. Et sans doute pourront-ils soutenir quelques cyclistes en difficulté. Peyresourde sera le dernier d’une série de 5 cols. C’est aussi cela la France du vélo : des familles entières qui aiment avec passion ce sport au point d’organiser leurs vacances par rapport à lui et de passer 8 jours en montagne au même endroit pour voir passer les coureurs. Ils sont très nombreux à agir ainsi et les montées des cols sont prises d’assaut par les camping-car plusieurs jours à l’avance. Le Tour ne pourrait pas se dérouler dans un autre pays, il fait partie de notre patrimoine culturel et imprègne profondément la population. Il est aussi la seule épreuve confrontée aussi publiquement avec le dopage alors que d’autres sports comme le football cumulent les anti-inflammatoires avec les produits stimulants sans chercher à s’en débarrasser car ils sont devenus indispensables à la pratique de ce sport. Le cyclisme et le Tour pourraient s’en passer plus facilement, contrairement à ce que l’on pense : les étapes seraient seulement plus lentes mais cela ne gênerait personne, au contraire, alors qu’un match de foot trop lent devient rapidement insipide.

Le poursuiteur-échappé

La descente se fera sans problème particulier. A l’arrêt précédent la montée d’Aspin pour poser le casque sur le guidon et enlever un vêtement je vois passer un cycliste d’un club lourdais qui pédale énergiquement puis, 2 minutes plus tard, 4 cyclistes du même club, bien identifiables avec leurs maillots identiques. Il y a donc une tentative d’échappée dans ce groupe ! Je repars derrière eux me disant qu’ainsi je vais pouvoir m’économiser dans la montée en prévision du Tourmalet et en raison de l’incident de Peyresourde qui a pu me fatiguer. Après 2 km derrière eux je passe devant et continue seul car ils montent un peu lentement. Dommage. Je vais finir par rejoindre l’échappé qui donne pourtant tout ce qu’il peut. Il cherche à battre son record ? Non, je l’apprendrai en haut, il est à la poursuite de 2 gars de son club que je viens d’abandonner derrière et qu’il croit devant !!! Il se pense en position de poursuiteur alors qu’en réalité il est échappé !

C’est un des problèmes des longues sorties en groupe qui conduisent à des parties de cache-cache derrière les arbres où on oublie de faire coucou et qui inversent les positions. C’est un problème récurrent, même à 2. En 1974 j’accompagne un collègue qui veut faire la traversée des Pyrénées, Hendaye Cerbère en moins de 56 heures, nuits comprises, pour être homologuée par la fédération de cyclotourisme (où est le tourisme ?). Notre seconde étape débute de Luz à 6 h du matin. Rapidement, mon collègue a trop chaud et s’arrête pour enlever un vêtement. Je l’attendrai, il m’attendra et nous nous retrouverons…le lendemain, 480 km plus loin, à Cerbère ! Je raconterai cette histoire croustillante et bien révélatrice de la vie dès qu’on est au moins 2…

Au sommet d’Aspin l’homme au crochet est toujours là, assis sous le panneau du col. Non ce n’est pas une couverture mais un drapeau répète-t-il inlassablement aux touristes qui l’interrogent. C’est aussi une forme d’endurance que de crocheter ainsi. Les cyclistes du club lourdais sont maintenant 3 au sommet. Et les 2 autres ? Ils sont devant dit notre échappé-poursuiteur. Non ils sont derrière répondent les 2 autres. Non, devant. Non derrière… Ils n’arrivent pas à se mettre d’accord. Alors j’interviens pour dire que j’ai rejoint 4 cyclistes au pied du col. Notre poursuiteur est rassuré. Désormais je ne suis pas pressé par le temps et profite largement du soleil et de l’altitude.

Pain, tomates et fermentations…

Pendant la dernière montée du Tourmalet je m’interroge sur les causes de mon malaise. La veille j’avais beaucoup mangé. J’avais emporté 1,2 kg de salade de riz, thon, tomates… que j’avais consommé avec de l’huile et du pain. Quatre repas dont le dernier à 22 h. Il fallait du combustible pour le lendemain où la dépense énergétique pouvait dépasser les 6000 kilocalories. A 20h, après mon troisième repas depuis midi je pensais m’arrêter là. Mais vers 22h je me sentais comme un petit creux comme dirait Obélisque. Alors j’ai terminé la salade et mangé tout un pain, un vrai pain dense et lourd acheté à Saligos tout près de Luz. Pas de ces pains en dentelle qui donnent l’impression de manger du vent et sont durs au bout de 2 heures. Non un vrai pain-menhir. Alors je commence à comprendre : pain et tomates fermentent quand ils sont ensemble. Vu les quantités absorbées mon intestin est devenu un véritable ballon et la position inclinée vers l’avant crée des compressions importantes sur les organes. La tentative avortée de vomissement à Peyresourde aurait quand même permis de libérer suffisamment d’air pour réduire cette pression et supprimer la sensation de risque d’évanouissement. C’est sans doute ce quatrième repas nocturne qui a précipité l’échec de ma tentative.

La sécurité d’abord ?

Mais j’ai beaucoup appris au cours de cette journée et 5000 m de dénivelé dans la journée, beaucoup s’en contenteraient. L’expérience me donne aussi à réfléchir car la situation peut rapidement devenir très problématique en cas de problèmes mécanique ou de santé quand on est seul sur un tel itinéraire même s’il y a beaucoup de gens qui circulent. Faire 7000 m dans la journée oui, mais avec un autre itinéraire, moins spectaculaire mais plus sécurisant : commencer par un Luz-Ardiden (1000m) puis Luz-Arreau-Luz ajoutant 4000 m, puis terminer par 2 Luz-Ardiden. Ainsi je repasse 2 fois au camping, je n’ai besoin de l’éclairage que dans la première montée et je peux l’enlever ensuite, je peux même m’affranchir du sac tout en simplifiant le problème d’approvisionnement en eau. De plus, dans les 2000 derniers mètres d’ascension il y aura la possibilité de faire demi-tour à tout moment, le camping sera au bout de la descente…C’est plus rassurant que d’avoir à tout prix le Tourmalet à franchir en dernière ascension ! Mais j’ai aussi conscience que c’est prendre le risque de ne pas aller jusqu’au bout de l’effort en cas de difficultés et de se laisser aller à la facilité.

Le lendemain je retourne faire un Tourmalet que j’enchaîne avec un Luz-Ardiden, comme pour me rassurer. Assis sur ma chaise de camping j’observe que le corps s’incline spontanément en avant et vers la droite, créant ainsi une pression quasi permanente de ce côté. Cette expérience m’a fait réaliser que derrière cette crise aigue il y avait un problème chronique lié à une position défectueuse. C’est souvent le cas : les crises de toutes natures sont souvent des révélateurs de problèmes plus permanents et profonds. C’est d’ailleurs tout l’intérêt qu’il peut y avoir à "pousser" le corps par des excès qui paraîtraient dangereux à beaucoup. Mais les problèmes apparaissent, offrant ainsi une opportunité d’en prendre conscience et de les résoudre.  

La suite de cette brève campagne pyrénéenne dans « L'Australie investit nos cols ! »

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Commentaires
R
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B
Merci pour ce message<br /> <br /> "Les cinglés du Ventoux", oui je connais...<br /> <br /> A vrai dire le défi est remis à plus tard à la suite d'un grave chute sur le verglas la veille de Noël 2007 avec fracture de la hanche. J'ai toujours le métal et je vois mon chirurgien le 4 mai pour qu'il soit enlevé.<br /> De ce fait, je ne sais pas, à 65 ans, si cela se fera un jour. Pas avant 2010 en tout cas. Je raconte tout cela dans ce blog. Mon record est 6500m en 2006.<br /> En 2007 j'allais faire, autre défi, 1500m de dénivelé par jour, sur 365 jours...Presque 1 Ventoux par jour toute l'année, en moyenne. Avec les jours "sans" il faut rattraper, soit 2000m de moyenne les jours "ouvrables". Quand...la chute !!!<br /> C'est donc un autre défi auquel je suis confronté, tout aussi difficile sinon plus. Cet été j'ai quand même fait 3400m de dénivelé avec un VTT par sécurité.<br /> <br /> Pour le régime alimentaire ce n'est pas simple et justement faire du vélo ainsi presque tous les jours est sans doute plus exigeant en matière de "régime" qu'une fois de temps en temps un gros coup.<br /> Il faudra que je fasse un article sur le sujet. L'un des points clés, je pense, est d'utiliser de l'acérola (c'est une cerise), cad de la vit C naturelle en quantité relativement importante bien que les doses naturelles et de synthèse ne se comparent pas.<br /> Je prenais un comprimé d'acérola tous les 300m de dénivelé environ soit 1 gramme environ de vit C tous les 1000m à répartir régulièrement.<br /> Je privilégie aussi les graisses végétales plutôt que les sucres. Surtout pas de sucres rapides, ce n'est pas un sprint.<br /> Mon entrainement quotidien en fortes montées répétées avait aussi permis de ralentir le coeur. Je pouvais ainsi monter le Tourmalet le matin tôt, à la fraîche, à 113 pulsations de moyenne et sans jamais dépasser 130 (30x26 ou 30x24 et 1h55 depuis Luz).<br /> Eviter de monter en FC est essentiel sur de tels parcours.
M
Salut!<br /> Je suis réellement impressionné par ce défi.<br /> Nous avons traversé les Pyrénées en juin dernier et franchement, effectuer 7000 en une seule journée, dans les Pyrénées, je dit:"CHAPEAU".<br /> A ce sujet, nous lançons un autre défi, en juillet prochain:grimper le Ventoux par ces 3 faces en une seule fois.<br /> C'est un parcours d'environ 130 kms avec 4600 m de dénivelés.<br /> J'aimerais savoir si, pendant que tu roulais, tu avais un "régime" alimentaire particulier afin de pallier à certaine carence.<br /> A titre d'info, nous sommes des cyclistes qui parcouront tous entre 4000 et 8000 kms par an.<br /> Merci de m'éclaircir sur ce sujet tellement compliqué.<br /> Manu.
C
bonjour <br /> juste un petit mot pour vous remercier de votre lecture critique et documentée qui m'aide à mieux avaler certaines couleuvres <br /> ( ça c'est pour le feuilleton sur le BCG)
Mon premier 7000 en vélo
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