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Mon premier 7000 en vélo
11 janvier 2008

À la maison avec une fracture du col du fémur

Fracture du Col du Fémur : Voir le récapitulatif des articles et de leurs sommaires


Comment vivre chez soi quand on vient d’être opéré d’une fracture du col du fémur 4 jours auparavant ? Voici mon expérience qui rendra peut-être service à quelques internautes. Ce samedi 29 décembre 2007 il est 14h30 quand l’ambulance qui me ramène de l’hôtel de La Fracture s’arrête devant mon domicile, 5 jours après la chute de vélo qui m’avait immobilisé sur la route, 4 jours après l’opération et alors que j’ai seulement fait mes premiers pas hier matin et que je suis parti avec beaucoup d’inconnues qui pourraient m’inquiéter. Cependant, la satisfaction de quitter cet hôtel l’emporte largement sur le moment. Bien entendu il ne faut pas être seul ! En plus de cette condition incontournable et des soins infirmiers quotidiens il faut s’assurer de 3 dispositifs essentiels pour vivre ainsi dans les premiers jours :

L’indispensable

Les accessoires utiles

Les compléments de soins

La mil-thérapie

La médecine quantique

L’indispensable

1- Un déambulateur : il m’a été prescrit pour 3 semaines. C’est vraiment le premier instrument indispensable. Il m’attend quand les ambulanciers me déposent dans la civière à mon domicile. Grâce à cet engin je vais pouvoir la quitter seul et aurais pu aussitôt me déplacer dans toute les pièces du rez-de-chaussée. C’est l’instrument fondamental de ma liberté et de ma rééducation. Un bémol : celui dont je dispose possède une tablette qui permet aussi de s’y asseoir ou de poser un objet, mais comme l’engin est pliable et qu’elle n’est pas verrouillée je vais me faire mal à 2 reprises en m’appuyant sur elle côté fixe, ce qui l’a fera soudain basculer. Ce serait pourtant fort simple de prévoir un petit dispositif pour l’éviter. Je vais écrire au fabricant en ce sens. J’avais le même à l’hôtel de la Fracture mais sans tablette (elle avait dû être enlevée pour cette raison). Pour m’asseoir et me relever des WC cet appui me fut très utile, voire indispensable.

2- Le lit : il doit être assez haut : la cuisse a été incisée jusqu’à l’os sur 14 cm, fort heureusement entre 2 muscles, aussi toutes les flexions sur les cuisses sont très douloureuses voire impossibles au début. En tout cas elles doivent rester très limitées. Aussi il faut un lit suffisamment haut pour pouvoir s’y asseoir sans trop de flexion arrière et surtout en pouvant appuyer les mains sur le lit, dos tourné à celui-ci, les cuisses étant encore peu fléchies. Il devient alors possible de s’asseoir en contrôlant la descente du bassin avec les bras. Pour résoudre ce problème, un second matelas avait été placé sur le premier. Un bon critère simple dont je n’avais pas conscience au début, que j’ai découvert 2 semaines après l’opération et qui ne m’avait pas été communiqué : éviter de s’asseoir sur une surface moins haute que celle du genou. Il ne faut pas hésiter à rajouter des coussins. Pour m’allonger une fois assis sur le bord du lit je me hissais avec les bras en m’efforçant de garder la jambe blessée tendue, soutenue par le lit et bien dans son axe.

3- Le siège : C’est le même problème que pour le lit et il est impossible de s’asseoir sur les WC au début, ils sont beaucoup trop bas. J’y parviendrai, avec quelques douleurs, une semaine plus tard. J’ai de la chance, on m’apporte un fauteuil pour vieillard avec des roulettes et un petit pot ! Il est droit avec des accoudoirs carrés, c’est ce qu’il faut. Là encore ne pas hésiter à rajouter des coussins pour rehausser. Comme il est sur roulettes je pourrai assez rapidement le déplacer moi-même en tirant alternativement le déambulateur et le fauteuil que je peux aussi utiliser comme déambulateur. Le fauteuil de l’hôtel de La Fracture était trop bas ce qui le rendait pénible.

Les accessoires utiles

Comme on est obligé de rester couché sur le dos il est préférable de surélever les draps du lit pour qu’ils ne pèsent pas sur le pied de la jambe blessée. Je le faisais avec un oreiller placé au fond du lit. La position sur le côté est très pénible car la jambe a difficilement un appui uniforme et cela provoque des tractions sur les zones blessées. Quand on est obligé de prendre cette position, pour des soins par exemple, il faut impérativement intercaler des coussins ou oreillers entre les 2 jambes. En position sur le dos j’ai aussi utilisé plusieurs petits coussins ou serviettes pour soulever telle ou telle partie de la jambe, varier souvent les positions et les points d’appuis pour limiter les gênes et les échauffements. Contre les échauffements j’ai utilisé une crème à base de beurre de karité qui me sert pour réduire les conséquences des frottements sur la selle de vélo, c’est très efficace.

 Après une semaine à la maison je parviens, dans le lit, à rester en position légèrement basculée vers la droite en soutenant toute la jambe gauche par une série de coussins. Je pense qu’il ne faut pas chercher sa position, il faut en essayer plusieurs et en changer régulièrement. Bien entendu il faut aussi prévoir un urinal pour ne pas avoir à se lever trop souvent au début. Mais dix jours après l’opération je me lève et me couche beaucoup plus facilement aussi je préfère me lever plusieurs fois pendant la nuit et marcher plutôt que de ne plus savoir comment me positionner dans le lit. Je vérifie ainsi que marcher avec le déambulateur même à 4 h du matin est encore la solution la plus agréable. Marcher ainsi ne me fait pas souffrir alors que la position allongée n’est pas toujours aussi confortable, surtout au fil des heures.

Les médicaments

Deux médicaments m’ont été prescrit. Il y a des piqûres quotidiennes d’héparine de bas poids moléculaire pendant 30 jours pour éviter caillot et phlébite. L’infirmière passe tous les jours. L’héparine est un anticoagulant bien connu qui peut avoir au moins 2 inconvénients : entraîner de l’ostéoporose ou une chute des plaquettes. Ce dernier point est constamment vérifié 2 fois par semaine par une analyse de sang. Il y a de plus les soins locaux sur la plaies opératoire ainsi que l’enlèvement des agrafes qui seront réalisés à domicile par l’infirmière.

Il y a aussi un antidouleur en gélules prescrit à l’hôpital à raison de 6 par jour, puis 4 par jour à la maison pendant 30 jours ! Après une journée à la maison je décide de ne les prendre qu’à la demande, selon la douleur. J’ai dû en prendre 3 ou 4 en une semaine puis j’ai arrêté. La dose et la durée étaient donc très largement surévaluées. J’ai donc eu raison d’adopter cette attitude d’attente et la plupart des boites de ce médicament, sauf celle entamée, vont retourner à la pharmacie. Je vérifie ainsi une fois de plus que nous sommes dans un pays dominé par de puissants laboratoires biochimiques pour lesquels l’assurance maladie en faillite est bonne fille…

Je viens d’entendre à la télé que les Français consommaient beaucoup plus d’antibiotiques que les autres européens, mais pour quelle raison ? Pendant des décennies des médecins bien conditionnés nous ont répété qu’en cas d’angine il fallait toujours prescrire une couverture antibiotique. Aujourd’hui des spots télévisés font passer pour un imbécile le Français moyen qui croît encore qu’il faut toujours agir ainsi !

Les compléments de soins

Au début j’étais obnubilé par la fracture. Puis j’ai réalisé qu’au choc du haut du fémur sur la route s’était ajouté l’attaque chirurgicale à l’arme blanche : avec des vaisseaux et chairs coupés il y a de façon inévitable un petit œdème dans la jambe y compris au pied. Pour améliorer la circulation je vais prendre un mélange de teintures mères de 5 plantes dont l’hamamélis, le fragon, le marron d’Inde et l’hydrastis. Il est vendu tout prêt en pharmacie par une marque. Un bémol, c’est avec de l’alcool. J’y ajoute aussi une enzyme contenue dans la tige d’ananas, la bromélaïne, produit également distribué en pharmacie par une marque. C’est efficace contre les oedèmes modérés.

L’homéopathie a aussi sa place avec l’incontournable arnica. La dilution habituellement préconisée pour ces chocs serait de 5 CH mais un thérapeute m’avait conseillé le 9 CH pour le vélo, le jardinage, le bricolage…A cette dilution, en prenant 6 granules par exemple on est comme un chat me disait-il. Ayant vérifié sur le vélo que ce n’était pas faux et plus efficace, au niveau du ressenti, qu’en 5 CH, j’opte pour le 9 CH à prendre pendant plusieurs mois tous les jours. Pour la consolidation de l’os tous les homéopathes conseillent Symphytum en 5 CH 3 fois par jour. En cas de fracture c’est un incontournable de l’homéopathie.

Je prends aussi tous les jours du silicium buvable et assimilable. Cela faisait déjà partie de mon mode de vie, je ne fais qu’augmenter les doses pendant quelques temps. Il est aussi possible d’ajouter des gels de silicium sur les muscles et l’œdème.

La vitamine C naturelle est plus que nécessaire et sans lésiner sur les doses. J’en utilisais justement dans ma pratique cycliste, en particulier pour limiter les effets nocifs de l’oxydation liée à l’effort physique (production de radicaux libres). Pendant cette période de reconstruction osseuse et musculaire et aussi de lutte de l’organisme contre les molécules nocives des médicaments, je pense consommer au moins 2 grammes par jour de vitamine C naturelle (acérola).

Comme j’ai 64 ans et que je faisais énormément de montées cyclistes dans des dénivelés importants j’étais déjà orienté sur la nécessité de protéger les articulations de l’usure du cartilage. Selon les recherches récentes menées sur ce grave sujet il faut d’abord réduire l’inflammation articulaire puis soutenir la reconstruction du cartilage. Pour le premier point j’utilise les anti-inflammatoires naturels que sont l’harpagophytum et l’ortie et pour le second des sulfates de glucosamine et des chondroïtines. Le tout dans des gélules contenant en plus du curcumin, du gingembre et de la vitamine E naturelle, autre anti-oxydant majeur avec la vitamine C. J’avais constaté depuis plusieurs années l’efficacité de cette préparation car les gênes que je ressentais au niveau du genou avaient totalement disparu après 4 mois de prises quotidienne. Après avoir interrompu le traitement j’avais constaté leur retour. Aussi, j’avais décidé, plusieurs mois avant cette fracture, de passer au mode continu. Alors, je continue ! J’ai demandé au chirurgien s’il y avait quelque chose au niveau du cartilage de la hanche, en raison du choc en particulier. Il m’a confirmé que tout était bon. Donc aucune arthrose de la hanche en préparation, c’est déjà, ça !

Bien entendu chacun pense aussi à prendre un produit aidant la consolidation de l’os. Mais que de polémiques sur le sujet ! Le calcium, mais quel calcium ? De la vitamine D ? Lire sur Gestion Santé toute une série d’articles sur la vitamine D. Il existe une foule de produits censés aider à la recalcification, mais lequel choisir ? Il m’en a été proposé 3 par plusieurs sources et je ne sais lequel choisir alors je demande les services d’un excellent radiesthésiste qui va sélectionner sans discussion, parmi les 3 en présence, celui fabriqué avec de l’extrait de nacre (aragonite conchylifère marine) et de la vitamine D3. Il teste en me tenant le pouls et en plaçant son pendule au dessus du produit. Avec la nacre le pendule va tourner beaucoup plus rapidement (il ne vend aucun produit) et en ajoutant de la vitamine C c’est encore plus intense. Il me dit de ne pas lésiner sur cette vitamine. C’était déjà mon intention. Le test n’est valable que pour moi et dans cette période. Le produit qui me convient le mieux, parmi ceux testés, ne sera pas forcément le meilleur pour un autre, ni même pour moi dans 3 mois. J’apprends aussi qu’à l’intérieur de la coquille d’huître il y a une zone blanche qui s’effrite facilement et qui libère une sorte de poudre faite de calcium assimilable que l’on peut consommer. Ainsi, en mangeant des huîtres on peut aussi soigner la solidité de ses os !

La mil-thérapie

J’avais déjà entendu parler de la mil-thérapie, mil comme magnétique, infrarouge, laser. Cette technique utilise un appareil produisant certaines fréquences entre 5 Hertz et 5000 Hertz et voici un lien qui expose son utilisation thérapeutique. Elle est la résultante des recherches menées par les Russes pour résoudre le problème posé par l’absence de pesanteur prolongée sur les os des cosmonautes : à leur retour sur Terre leurs os sont fragiles comme du verre. Certaines fréquences bien choisies, émises régulièrement depuis leur scaphandre ont permis de résoudre ce problème. Il serait possible aujourd’hui de bénéficier de cette technologie issue de recherches très avancées appelées médecine quantique et qui peut en particulier accélérer considérablement la consolidation osseuse. Ce n’est pas encore très répandu dans notre pays malheureusement délibérément orienté vers la biochimie plutôt que vers le vibratoire.

Le footballeur Djibril Cissé, après sa terrible fracture à la jambe juste avant la coupe du monde 2006, n’avait pas été plâtré. Une fois la fracture réduite sa jambe avait été placée dans une gouttière et 3 fois par jour il recevait, selon ce qu’on m’a dit, 23 minutes de traitement par mil-thérapie sur cette jambe. Comme je connais un thérapeute très sérieux qui pratique la mil-thérapie à quelques dizaines de kilomètres de mon domicile je suis vraiment tenté d’en profiter pour voir ce que cela donne sur moi. Malgré le coût et avec le déplacement ajouté j’estime que ça vaut la peine d’essayer car si je dois attendre que ce soit remboursé par l’assurance maladie...

Je vais avoir ma première séance le 7 janvier, juste 2 semaines après la chute. Selon le protocole des concepteurs il faut, pour une fracture du col du fémur, traiter le cœur, l’artère fémorale au plus près de la fracture, les surrénales, chaque fois 5 minutes, puis la zone de la fracture avec plusieurs niveaux de fréquence. Je viens pour voir et j’espère évidemment beaucoup.

En posant le pied par terre après cette séance je sens que l’appui est bien meilleur, ce qui sera confirmé quelques heures plus tard chez le kiné où je vais réussir à marcher, à très petits pas glissés et sans aucun appui, pendant plus de 15 mètres, ce que je n’osais pas imaginer 1 heure auparavant. Le lendemain nouvelle séance où je ressens très nettement le bienfait de la fréquence sur le cœur. L’après midi, 2 semaines exactement après l’opération, je monte les 2 pieds sur la première marche de l’escalier en m’aidant de béquilles et chez le kiné je vais marcher sans appui en avançant les jambes nettement l’une devant l’autre sur quelques pas. Le kiné n’en revient pas de mes progrès rapides. Franchement, je pense que la mil-thérapie y est pour quelque chose.

Après ma quatrième séance de mil-thérapie, 16 jours après la fracture je vais faire, sur ma propre initiative et sans avoir demandé l’accord du kiné, 20 minutes sur son vélo de rééducation. Non seulement cette séance me fait un bien énorme au moral mais va assouplir considérablement la cuisse martyrisée par l’opération : à la fin de la séance je la sens beaucoup plus légère, réactive et la soulève alors beaucoup plus facilement. Le lendemain à nouveau 20 minutes de vélo et le surlendemain, au soir de ma cinquième séance de mil-thérapie, 18 jours après la chute, 17 jours après l’opération, je me lève de mon fauteuil sans aucun appui et sans aucune douleur, les bras en avant.

La médecine quantique

La mil-thérapie c’est de la médecine quantique. Voici ce qu’on peut lire à ce sujet sur le web :

« Ainsi, le Dr Youri Khefeits, médecin-praticien russe et chercheur en médecine quantique à l’Institut d’Energétique de Moscou, pose cette définition : « la santé consiste dans l’harmonie des relations énergétiques d’information entre l’individu (le sujet) et la Nature (l’objet) ; cette harmonie s’exprime par l’homéostasie de l’organisme sur le plan physique, mental et spirituel. » A noter que l’homéostasie peut se concevoir comme étant l’optimisation des mécanismes d’auto-régulation, d’auto-défense et d’auto-guérison de l’organisme vivant… soit une dynamique de santé active impliquant la personne tout entière.

Une récente série de publications scientifiques russes semble démontrer que l'utilisation prophylactique des technologies quantiques à raison de 2 ou 3 cures par an permettrait de prolonger sainement la vie humaine de 7 à 12 ans ! L'intérêt de la régénération quantique (encore appelée : réparation ou réhabilitation) a été mis en évidence dans de nombreux cas : accélération du rétablissement et de la cicatrisation post-opératoire (après des interventions lourdes ou complexes), réparation après chimiothérapie et/ou radiothérapie dont on peut objectivement diviser par deux ou par trois le temps nécessaire à la récupération.

A ce titre, on peut donner en exemple le cas du président de la Russie, Boris Eltsine, dont la récupération fut surprenante pour le monde entier deux semaines après son intervention chirurgicale (quintuple pontage) en fin 1996 !

La "médecine quantique" est un domaine encore méconnu qui risque de révolutionner le développement de processus énergétiques totalement biocompatibles, sans passer par des manipulations génétiques ou par l'intrusion de vaccins, la médecine quantique optimisera tous les domaines de la santé en restituant à la création le sens originel qui lui est assignée par la Vie ! »

A suivre… 

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Commentaires
D
Est il possible de se remettre d une fracture du femur reelehttps://www.quora.com/Does-the-US-Postal-Service-transport-mail-on-Sunday/answer/Pamela-Uribe-2ment?
R
moi je me suis fait opérer du col de fémur on m'a mis des broches je suis rentré après 4jours je me déplace en déambulatoire difficilement vu que je n'ai pas le droit d'appuy sur ma jambe pendant 7 semaines dur dur j'ai 75ans
C
pourriez vous me donner le nom des gélules rassemblant harpagophytum et l’ortie et sulfates de glucosamine et des chondroïtines. Le tout dans des gélules contenant en plus du curcumin, du gingembre et de la vitamine E naturelle, autre anti-oxydant majeur avec la vitamine C. je me soigne depuis 40 ans par les plantes et ma mère de 93 ans vient d'être opérée du col du fémur merci de me répondre
B
Bonjour Mimoza,<br /> <br /> Alors que vous vivez au sud de l'Albanie, je suis très touché d'apprendre que vous veniez sur mon blog pour y témoigner en espérant des conseils aussi judicieux que possible.<br /> <br /> Valérie donne sans doute un bon conseil : ne surtout pas forcer. Mais la limite dépend de chaque cas. "La douleur est votre limite" m'avait dit le chirurgien.<br /> <br /> <br /> <br /> Je ne suis qu'un ancien patient et n'ai pas l'expérience d'un professionnel voyant beaucoup de cas. Dans votre cas, si vous avez une déformation avec réduction importante des mouvements de la jambe, il faut sans doute vous montrer très prudente et essayer d'en comprendre les raisons en demandant aux professionnels ayant accès à vos radios. Je suppose que vous en avez eu.<br /> <br /> Bernard
V
moi ca a fait un an en mars et je men ressens encore mais je fais bcp de sport cest mon sauveur ! vous devez en faire sans forcer , velo, pilate...<br /> <br /> mon fils a eu aussi une fracture du col du femur mais jeune sest remis plus vite, un cas nest pas lautre ! vous avez fait du kiné ?
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